Inconvénients respiratoires… sulfureux

Les additifs les plus pernicieux pour le système respiratoire sont les sulfites. Nous les trouvons:

-dans les sauces et pesto du commerce (tapenade, pesto au basilic, pesto à l’ail des ours, sauces tomate…)

-dans les vins

-fruits et légumes en conserve

-plats pré cuisinés

ETC…

Ils sont ajoutés pour permettre la conservation de la couleur, éviter l’oxygénation du produit, et surtout augmenter la durée de son temps de vente en masquant / évitant leur dégradation… même si en réalité il n’y a plus grand chose de vraiment nutritif dedans.

Bertrand Waterman, ayant vu sa santé se détériorer, a fait des recherches de fond et pu débusquer et mettre en avant le rôle pernicieux de ce groupe d’additifs. Son livre, pas tout récent, mais d’approche simple et efficace, est toujours d’actualité: « Maladies Chroniques et Allergies aux Sulfites: Asthme, Eczéma, Fatigue, Migraine, Polypose Nasale, Rhinites, Sinusites, Troubles Digestifs ». Achat possible que sur Amazon.

Toujours plus de médecins deviennent enfin conscients des problèmes engendrés par ce groupe d’additifs. Je vous engage, si vous êtes concernés, de vous procurer ce livre, d’appliquer les conseils, et d’en faire connaître le contenu.

Lorsque je rencontre des personnes – et surtout des enfants – traînant quelques problèmes respiratoires « sans solution », je propose d’abord l’éviction de tout produit laitier (lactose ET caséine), et du gluten également. Pas facile… mais est-ce « plus facile » d’être toujours en sous-vitalité? 

Pour un compromis PEUT-ÊTRE plus acceptable pour certains, éviter d’abord et COMPLÈTEMENT les sulfites comme additifs au moins sur 3 semaines, et voir le résultat. Jouez au détective, et recherchez LES codes E pour votre pays (E220, E222, E228…). J’ai rencontré quelques personnes dont la diminution – voir l’éradication complète – de l’ingestion d’aliments contenant NATURELLEMENT des sulfites comme les pommes, les oignons ou encore les choux, a aussi été bénéfique.

J’ai la gratitude de pouvoir manger des fruits/légumes de saison directement au pays de production – et de m’en nourrir quasi exclusivement – grâce à mon nomadisme actuel. Ces photos sont celles d’achats sur des marchés locaux du Costa Rica, où les producteurs – souvent des familles – viennent avec leurs récoltes du moment.

Où que l’on soit, être attentif que la qualité des échanges respiratoires/énergétiques dans chaque cellule corporelle dépend de la qualité des composants nutritifs, de leur facilité de digestion ET d’absorption, de leurs côtés « non-allergènes » pour vous-même.

Fondamentalement, votre énergie se crée à partir des molécules d’oxygène absorbées par votre système respiratoire  PLUS des éléments nutritifs provenant de votre choix alimentaire. RESPIRATION + ASSIMILATION = ÉNERGIE.

D’être fatigué après un repas est le signe d’éléments ingérés qui vous volent de l’énergie pour être « digérés »… De manger doit apporter de l’énergie en nécessitant le minimum de carburant pour la digestion. La nourriture fraîche – avec les bonnes combinaison entre ses éléments – est régénératrice. D’avoir « des réactions » après l’ingestion d’un fruit n’est PAS FORCÉMENT le signe qu’il ne vous convient pas, mais qu’il peut PEUT-ÊTRE avoir une fonction de détoxication sur votre corps… et surtout, un fruit ne doit jamais être mangé à la fin d’un repas.

Exemple personnel – et actuel – de réaction à des fruits: la papaye m’active l’évacuation des mucosités – besoin de me moucher, et « cela part » facilement, alors que la banane m’apporte du mucus épais que je mets un certain temps à éliminer. Donc, pour le moment, je privilégie la papaye, et j’évite la banane…

OK, si vous, lecteur, vous vivez actuellement une saison froide et hivernale, la pastèque, la papaye ou l’ananas ne sont pas les bienvenus – contenant trop d’eau, ils vont refroidir votre corps. Votre nourriture devra être un peu plus compacte, en évitant sulfites et mélanges alimentaires peu compatibles avec la logique du système digestif et de la faculté de ses organes.

Respiration cellulaire et assimilation digestive optimale vont de pair. Testons-nous avec une curiosité saine, vous êtes votre enquêteur !